Le Monde.fr
dimanche 14 avril 2019
À la recherche du lapin perdu et de la mémoire dévastée
Par Cristina Marino
La mise en scène est particulièrement efficace et contribue grandement à faire ressortir toute l’ambiguïté et la dimension anxiogène de ce huis clos entre père et fils. Il joue constamment sur des effets de contraste au niveau des lumières, en plongeant régulièrement le plateau dans le noir complet, peut-être pour symboliser de façon très concrète les trous de mémoire de plus en plus fréquents du père....