mercredi 04 mars 2015
Par Nicole Bourbon
Dès la première scène, l’émotion est là, qui ne nous quittera plus. Car Rubia Matignon a centré sa mise en scène sur une vision âpre et sombre de l’Espagne, à cent lieues des espagnolades avec frous-frous et castagnettes. Et elle nous raconte cette Espagne-là, terre brûlée, sèche et aride où les sentiments s’étouffent pour mieux ressurgir dans une sorte de ballet...