lundi 03 décembre 2012
Par Suzanne Teïbi
Une veille femme, à l’orée de sa mort, comprend pleinement le sens de la vie. Elle arrive près d’un arbre, vieux et noueux. Entre la veille femme et l’arbre, il n’y a qu’un pas, « et son rêve se boutur[e] à celui mourant du pommier ». Petit à petit, la femme devient pommier et pomme, se mélange et se confond à l’arbre. Si la parabole est belle, et marque une réflexion profonde sur l’essence de la vie, elle reste opaque, tant pour les enfants que...