Titulaire d’une licence en musicologie, Bénédicte Couka est institutrice de 1983 à 2010. Après avoir écrit en 2011 le conte musical Dame Baleine et l’enfant sage, elle s’oriente vers l’écriture théâtrale jeunesse.

Sa première pièce Le sable dans les yeux obtient le Prix Annick Lansman en Belgique en 2012. L’Education Nationale l’inscrit dans la liste des ouvrages sélectionnés pour les collèges pour l’année scolaire 2012/2013. Cette pièce est mise en scène par la Compagnie Les Passeurs et jouée à Avignon en 2015. Une nouvelle création a lieu en novembre 2017 au théâtre Boris Vian à Couëron par Niouton’Théâtre, compagnie de théâtre d’objets et de marionnettes.

En 2013, On n’a pas de pétrole mais on a du géant, destiné à être joué par un groupe d’adolescents, est publié dans La scène aux ados, Lansman.

La même année, suite à une commande du Théâtre du Peuple de Bussang, parait La Trace. Ecrit pour dix acteurs adultes sur le thème de « Qu’est-ce qui vous fait lever le matin », Bénédicte Couka met en espace son texte dans le cadre du Week-end Citoyen 2013.

Pour l’année scolaire 2015/2016, Tel fils, tel père, pièce sur le handicap, est retenue par le théâtre Athénor Saint-Nazaire pour l’opération Je lis du théâtre et le Théâtre National de Toulouse dans le cadre de Pièces à lire, pièces à entendre. Les EAT sélectionnent ce texte pour la journée nationale du 1er juin des Ecritures Théâtrales Jeunesse 2017 (festival Catimino) et le comité de lecture Eclats de Scènes Cultures Itinérantes pour le prix Eclats de cœur 2018.

Au printemps 2017, parait La princesse aux joues rouges à L’Ecole des loisirs. Ce texte obtient le label Jeunes Textes en Liberté 2016. Il participe à l’opération Je lis du théâtre du théâtre Athénor Saint-Nazaire 2017/2018. La pièce est créée en 2019 par Le Théâtre du Frêne.

En 2018, « Le petit nez qui coule » est publié à l’Ecole des Loisirs suivi en 2019 de « Un Noël de chien », et en 2021 de « Le loup, la jeune fille et le chasseur ». Cette dernière pièce est créée en 2024 par le Théâtre du Cristal.