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Angéline Croissant

France

Dernières critiques

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Libération

mardi 11 juillet 2023

Festival d’Avignon : avec «J’aime» de Laure Werckmann, ce qu’aimer veut dire

Par Laurent Goumarre

Pour sa première mise en scène, la comédienne adapte le roman du même nom de Nane Beauregard et déplie l’émancipation d’une femme dans sa parole. Magistral....

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Plus de Off

dimanche 15 juillet 2018

« Un homme. Une voiture. Deux explosions. »

Par Walter Géhin

« Un homme. Une voiture. Deux explosions. » La vie de Amor, un jeune homme pourtant sans histoires, diplômé et sociable, vient de basculer. Rien de tangible cependant, juste une présomption, celle que les regards qui s’attardent sur lui vont ou ont déjà changé

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Cultutruc

lundi 05 mars 2018

« J’appelle mes frères et je dis … »

Par Pauline Moisan

« Tu vas bien? »  « Tu as entendu ce qu’il s’est passé ? » « Pourquoi tu réponds pas ? » « Tenons-nous prêts. » Tenons-nous prêts à affronter les regards, les méfiances, les accusations, la peur d’être pris pour quelqu’un qu’on n’est pas....

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Des mots sur l'éphémère mouvement

jeudi 26 octobre 2017

Gorki, Fassbinder, Vollmann : le théâtre comme lieu politique.

Par Adrien Meignan

J’ai attendu trois spectacles, en cette saison 2017-2018, pour écrire ma première brève de scènes. Comme je l’avais expliqué dans un billet précédent, j’ai souhaité diversifier les lieux où je vais…...

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Théâtre au Vent

lundi 09 octobre 2017

L'enfer conjugal exploré sans aménité avec une lucidité quasi luciférienne

Par Evelyne Trân

Ils donnent l’impression d’être deux rats en cage qui tournent en rond. L’air est infesté, empoisonné parce que c’est le même depuis de longues années. Ajoutez un autre animal dans cette cage, vous pouvez imaginer facilement que les deux premiers rats vont se liguer contre le troisième et le dévorer.

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Comme il vous plaira

mercredi 27 septembre 2017

Un vivarium qui donne vie à des bêtes sauvages...

Par Judith Policar

Alice (Hélène Theunissen) et Edgar (Jean Alibert) doivent fêter leurs noces d’argent. En entrant en scène, les deux personnages s’assoient sur deux chaises face au public. Ils ont l’air de deux fantômes, de deux êtres vidés de toute possibilité d’émotions. Ils parlent comme des robots, comme s’ils répétaient ces phrases chaque matin.

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