mardi 10 février 2015
On entre dans ce spectacle comme dans une forêt.
Par Evelyne Trân
Certaines musiques paraissent être inspirées par la nature elle-même et ses éléments, le feu, l’eau. Et souvent sans que l’on comprenne pourquoi, il suffit d’écouter un concerto de Mozart, de Ravel pour être gagné par la tristesse. Tristesse non violente qui remue le cœur en sourdine, que les musiciens expriment souvent juste après la fête de leurs instruments évoquant les joies de la nature, les oiseaux qui chantent dans la forêt.