Non, Madame Fraize chante, « pensia en mi » et sans doute se rêve-t-elle en héroïne d’Almodovar, mais dans sa robe verte et ses longs gants de caoutchouc rose on pencherait davantage pour Yvette Guilbert. Même visage pointu, même causticité et même étrangeté. Cependant, plus prosaïquement, Madame Fraize a des préoccupations de ménagère. Toujours lire la notice pour le lave-vaisselle, c’est importa...

« Elle » est là, dans sa belle et longue robe verte avec sa coiffure année 60 un peu retro. « Elle » sourit. Sans arrière pensée, un peu cabotine, un brin malicieuse mais visiblement et simplement heureuse et bienveillante. Marc Fraize quitte les habits de Monsieur Fraize et endosse la robe de Madame....