Par sa manière toujours inattendue d'aborder les problèmes posés par l'existence, Nasreddine nous amène à faire un pas de côté pour contempler ce qui d'ordinaire nous dépasse : l'injustice sociale, la bêtise, l'hypocrisie, la mort... Pour servir cet humour subtil, il faut se faire « passeur d’absurde ». La troupe a donc opté pour un positionnement de narrateurs – marionnettistes. Du récit brut à l’illustration symbolique (recours au théâtre d’objets), en passant par l’incarnation des personnages par les marionnettes, diverses modalités narratives sont explorées.

Réalisation : Nina Cottin Habillage sonore : Olivier Lerat