Tout le monde aime un bon meurtre. Surtout quand ça se passe dans un milieu qui ressemble au nôtre. On se dit avec un petit frisson de plaisir qu’au fond, la victime – ou peut-être le meurtrier –, cela pourrait être nous. Que ce soit un fait divers dans les journaux, un Dupont de Ligonnès ou un Jean-Claude Romand, où une fiction imaginée par un Hitchcock ou un Chabrol, on est bien contents de voir les autres souffrir à notre place.