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Mai XXIe siècle. L'Echec est-il propre à l'âme

lecture dirigée par Jean-François Auguste

: Présentation

Nouvelle traduction Sonia Gómez-Jordana Ferary

Lorsque Théâtre Ouvert me donne à lire Mayo siglo XXI. ¿Es el fracaso un atributo del alma?, je ne sais presque rien de Fernando Renjifo, si ce n’est qu’il est un auteur et metteur en scène espagnol. Après lecture de sa pièce, je sais qu’il est un auteur explicitement politique et poétique, qu’il cherche à démonter les mécanismes d’une politique qui effacerait la dimension spirituelle de l’Homme (…).


Je sais aussi que dans sa proposition artistique il aspire à ouvrir des pistes de recherches d'expression, à questionner les individus sur leurs positions personnelles et sur la nécessité de dissidence. Je sais que son écriture me questionne. Je sais que j’ai envie de confier cette parole politique à des femmes et je sais que j’ai envie d’être accompagné par trois actrices pour lesquelles j’ai une très grande estime. Je sais enfin que cette phrase de Serge Daney résonne dans ma tête à chaque fois que je relis la pièce : La vrai réponse à la terreur, ce n’est pas la vertu, c’est le non-renoncement au plaisir.
Jean-François Auguste


L’auteur et metteur en scène espagnol Fernando Renjifo propose dans ce texte, écrit en 2012, un manifeste politique et philosophique en sept tableaux, prenant pour point de départ une œuvre d’Anselm Kiefer, Les Célèbres ordres de la nuit (1997), qui représente un homme couché sur le dos sur un sol craquelé, sous un immense ciel étoilé.

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