: L'Argument
Mettre en scène ou plutôt "mettre en vide" le texte de Koff Kwahulé.
Car le jour où Ti’Zac enjamba la peur nous aspire dans le vide.
Le vide qui illustre le trop plein de soi, car "Rien n’est plus vide qu’une âme encombrée" a
pu dire le philosophe.
Le vide du sexe sans amour, le vide du sentiment qui spécule sur l’argent, le vide de la
maternité qui tente de faire la nique à la mort, le vide de la transgression comme tremplin
vers le rêve, le vide du temps qui s’amuse de nous.
Koff Kwahulé a écrit pour CYCLONES ce qu’il dénomme une "tragédie à rire".
Une fable, un choeur et un orchestre au service d’un simulacre de rituel théâtral qui joue
avec la mort pour mieux nous faire péter la vie à la gueule.
Et de La Réunion au Bénin, la gueule de rire, à gorge déployée.
Luc Rosello
Ces fonctionnalités sont réservées aux abonnés
Déjà abonné,
Je me connecte
–
Voir un exemple
–
Je m'abonne
Ces documents sont à votre disposition pour un usage privé.
Si vous souhaitez utiliser des contenus, vous devez prendre contact avec la structure ou l'auteur qui a mis à disposition le document pour en vérifier les conditions d'utilisation.