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Le Nazi et le Barbier

+ d'infos sur l'adaptation de David Nathanson ,
mise en scène Tatiana Werner

: Présentation

Le Nazi et le Barbier est un récit déjanté. Meurtre, viol, crime de masse, rien n’échappe à la dérision et au sens du grotesque de l'auteur. C’est pourquoi le spectacle est monté à la manière d'un stand-up. Seul en scène, s’adressant au public avec réalisme et sans fioriture, comme les comiques d’aujourd’hui, Max nous raconte ses tracas quotidiens, des camps de concentration à Jérusalem. Il endosse successivement les voix de tous les personnages qu’il croise depuis son enfance. Sans changement de costume, toujours à vue, il dialogue avec lui-même et avec son histoire, passant sans cesse du statut de bourreau à celui de victime.


Le son
À ce personnage aux multiples facettes et à l'identité vacillante qu'est Max Schulz, répond une musique qui puise autant dans la liturgie ou le folklore juif (le Kol Nidre) que dans des sonorités plus rêches et plus modernes (Silver Mount Zion, Di Nigunim). Violent, drôle et poétique, cet assemblage musical est à l'image de Max Schulz : insaisissable.


Le décor
Le plateau est nu. Seul un fauteuil de barbier trône au milieu de la scène, figurant à la fois les trois salons de coiffure qui marquent les étapes de la vie de Max. En arrière-plan, une enseigne lumineuse "l'homme du monde" s'illumine, donnant au discours de Max Schulz un contrepoint ironique

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