: Présentation
Sous l’intitulé « La marionnette et son double », Pierre Blaise et Eloi Recoing reconsidèrent leur travail respectif sur Constantin Stanislavski et Antoine Vitez, donné en partage au public avec les spectacles « Le Dernier cri de Constantin » (2009) et « Vitez en effigie » (2008)..La marionnette, sa « présence », son « animation », interrogent profondément l’acteur. Les processus de formation, d’interprétation, de réflexion sur le théâtre se trouvent étrangement mis en question par l’instrument dramatique qu’est la marionnette. Au point de faire de la marionnette un instrument très intéressant et très amusant pour l’observation du théâtre. Au point de se risquer à la double mise en scène d’un méta-théâtre inattendu.
Cette qualité réflexive de la marionnette n’a échappé ni à Vitez ni à Stanislavski. Le montage de quelques uns de leurs écrits, associé à la démonstration dramatisée du jeu de la marionnette à gaine nous a paru pouvoir ouvrir à la sensibilité des spectateurs les chemins d’un des paysages des plus méconnus du théâtre : celui de l’espace double du théâtre de marionnettiste.
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