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Kong melencholia

+ d'infos sur le texte de Rémi Checchetto
mise en scène Patrick Séraudie

: Présentation

King Kong ! Une bête de cinéma avec une belle actrice. Une histoire d’amour qui finit mal…
L’icone de la dualité entre les forces primitives et l’évolution technologique de l’Amérique.
Hollywood Babylone !
Remi Checchetto s’empare du mythe de King Kong et écrit un long poème dramatique, le chant d’un amour qui s’effondre dans des buildings ou des tours.
Il nous raconte une histoire qui nous concerne tous, la parole de celle et celui dont soudainement la vie toute entière recule d'un pas.


« Formulons une adresse à travers la jungle de la vie, des questions pour essayer de changer le cours du destin de Kong.
Et des rêves pour tenter de contrer le cauchemar. »
Rémi Checchetto.


Nourri depuis notre enfance de musique et de cinéma venus d’outre atlantique, l’imaginaire américain fait partie de notre culture collective. Les chansons ou les images des films parlent à chacun mais comment y injecter une nouvelle poétique, un regard différent ? Comment gratter le vernis et faire entendre une autre parole ? […]
KONG MELENCHOLIA nous parle d’une autre chute inexorable venue des USA. Celle de King Kong mais pas seulement… […] Le texte de Rémi Checchetto puise la poésie de son phrasé dans le meilleur du Jazz-Rock. Vision de l’Amérique du côté obscur de la force, KONG MELENCHOLIA sera Jazz ! Le blues de personnages solitaires qui assistent à la chute du rêve américain en noir et blanc et parfois en chromos.
Le texte est porté par une voix solitaire. Aspiré par les lumières de la ville, le personnage y survit, y dépérit et s’étiole. Déraciné, il ne lui reste que la parole. Il s’identifie et perçoit la souffrance de Kong.
Un comédien-narrateur.
Un musicien.


Deux solitudes. Le rêve américain brisé dans deux studios parallèles.
Les personnages sont cloîtrés dans leurs solitudes.
Seule, la verticalité de la ville les relie.
L’un se perd dans la création musicale, l’autre dans les mots. Mais les cloisons sont tellement fines…
Patrick Seraudie, Février 2014

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