: Présentation
Je m’appelle retrace la lancinante cohorte des victimes d’un siècle de guerre économique mondiale. De Rodez à Saïda, de Pointe-à-Pitre à Séville, des typographes, mineurs, caristes, employés saisonniers se succèdent dans une série d’histoires d’ouvriers portées par un auto-entrepreneur du bitume sur un texte d’Enzo Cormann.
« Quels abîmes de silence les tonitruantes parades de cette fin de XXème siècle, travestissement « kitch » de l’Histoire, s’acharnent-elle à emmurer ? »
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