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Et la terre se transmet comme la langue

+ d'infos sur le texte de Mahmoud Darwich traduit par Elias Sanbar

: Présentation

“La maison est plus belle que le chemin vers la maison en dépit de la trahison des fleurs.” Mahmoud Darwich, Et la terre se transmet comme la langue, Actes Sud (Sindbad), 1994.


Depuis 2011, Stéphanie Béghain (artiste associée au T2G) et Olivier Derousseau sont engagés dans un travail en compagnie d’un texte de Mahmoud Darwich, Et la Terre se transmet comme la langue, traduit par Élias Sanbar. Ce travail a donné lieu à des présentations publiques à La Fonderie au Mans en 2011, au Studio-Théâtre de Vitry-sur-Seine en 2012, au Théâtre de l’Échangeur à Bagnolet en 2016 dans le cadre de journées intitulées Fabrique des regards : Europe et Moyen-Orient, ainsi qu’à Oujda en 2016 à l’occasion de la Biennale d’art contemporain Orienta. Les formes d’apparition du poème ont chaque fois varié. Ces variations ont toujours été guidées par le souci d’ouvrir et de construire un espace de réception situé, dont l’étude systémique a conduit à des recherches sur la longue histoire de la Palestine, afin de considérer le feuilletage, l’épaisseur historique et existentielle du poème. Composé à Paris en 1989, Et la Terre se transmet comme la langue est une méditation écrite sur un mode épique et lyrique à propos d’exil, de retour mais aussi de maison. La langue arabe a ceci de particulier que le terme al-bayt désigne tout aussi bien « la maison » que le « vers poétique » ; le foyer de la langue serait donc le poème

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