Avec : Baptiste Guiton et Benoît Brégeault

C’est en mai 2000, à la suite de l’entrée au gouvernement du parti d’extrême droite autrichien (FPO), qu’Elfriede Jelinek écrit Les Adieux : Un discours sans fard de différentes figures liées à la personnification du pouvoir, la mise à nu d’un langage de propagande.
A l’image des jumeaux Kaczynski à la tête de la Pologne, deux histrions incarnent et détraquent l’actualité politique occidentale. Dès lors, les icônes, les formules, les exploits sportifs valsent entre l’enthousiasme populaire et la dérive populiste.
Une performance qui sent bon le pays, un cabaret viennois qui sent si bon la France.