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Todo el cielo sobre la tierra ( El síndrome de Wendy)

mise en scène Angélica Liddell

On en parle dans la presse et sur le web

Image de la critique de Théâtre du blog

jeudi 18 juillet 2013

Le catalogue de la grande dame espagnole est fourni

Par Philippe du Vignal

Sur le grand plateau de la cour du lycée Saint-Joseph, peu d'accessoires, un tumulus de terre brune avec des plantes et des arbustes bien verts, quelques tables et chaises tubulaires renversées, une estrade...

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Image de la critique de Rue du Théâtre

samedi 13 juillet 2013

Théâtre de variation sur la valse

Par Moïra Dalant

C’est l’histoire de Peter Pan et de Wendy, une histoire d’amour mais aussi de mort, dans laquelle la vieillesse est rejetée telle un objet abject et inutile. Wendy parcourt le monde, elle est le témoin de la tuerie de l’île norvégienne d’Utoya – devenant ici le symbole de la peur sociétale de la jeunesse éternelle –, elle termine son voyage à Shanghai, dans le pays de l’enfant unique, dit-elle....

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Image de la critique de Les Trois Coups

samedi 13 juillet 2013

Noirs desseins

Par Juliette Rabat

Angélica Liddell achève à Avignon la trilogie chinoise débutée en 2011 avec « Maudit soit l’homme qui se confie en l’homme ». Comme « Ping Pang Qiu », également présenté au Festival, « Todo el cielo sobre la tierra » (« Tout le ciel au-dessus de la terre ») témoigne de la fascination de l’artiste pour l’empire du Milieu, mais dresse surtout l’amère constat d’un dégoût du monde qui n’épargne personne. Radical et envoûtant....

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Image de la critique de Le grand théâtre du monde

jeudi 11 juillet 2013

Angélica Liddell, l'envoûtante enragée

Par Armelle Heliot

Avec Tout le ciel au-dessus de la terre, l'artiste espagnole retrouve la puissance dévastatrice et fascinante qu'elle avait mise dans La Casa de la fuerza. Une méditation déchirante dans laquelle…...

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Image de la critique de L'insensé

mercredi 10 juillet 2013

Liddell: "Fuck this waltz"

Par Malte Schwind

Du 6 au 11 juillet, c'est au Cour du lycée Saint-Joseph, lieu probable de récréations de la jeunesse, que Angélica Liddell nous propose avec Todo el cielo sobre la tierra (El Sindrome de Wendy) une traversée d'une violence mélancolique de Utoya à Shanghai. Une vengeance, comme elle le dit elle-même, à la perte, à l'abandon, à la séparation préférant de se ranger parmi les morts et se livrer à une sorte de nécrophilie pédophile.......

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Image de la critique de nouvelobs.com

mercredi 10 juillet 2013

Angelica Liddell : l'Espagnole allumée... ou l'arroseur arrosé?

Par Odile Quirot

Un micro à la main, tout de noir à peine vêtue, Angelica Liddell crie sa rage, sa haine des mères, de la société, sa soif d’amour, et puis elle met en pièces le mot amour. Ce bout de femme à l’allure de petit corbeau lèche même le plateau: le théâtre, du moins, elle l’aime....

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Image de la critique de Festivalier.net

mardi 09 juillet 2013

Unique, double Angélica Liddell.

Par Sylvain Saint-Pierre

Deux heures et quarante minutes de représentation s’achèvent par une clameur. Le public réagit chaleureusement; ému, pensif, il semble avoir traversé des océans pour échouer sur une île, seul. Ce voyage est celui des hautes solitudes. La sidération laisse place au dépouillement, mélange de trop-plein et de vide. Il fait nuit dans la cour du Lycée Saint-Joseph; l’obscurité est en soi. Je me demande pourtant s’il convient d’applaudir. Aimer cette...

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Image de la critique de Le Monde.fr

lundi 08 juillet 2013

Angélica Liddell, une rage inentamée

Par Fabienne Darge

Le public est resté tétanisé quelques longues secondes, à l'issue de la première représentation de Todo el cielo sobre la tierra (El sindrome de Wendy), samedi 6 juillet. Puis il a réservé un accueil plutôt enthousiaste à la nouvelle création, très attendue, d'Angélica Liddell – un accueil dans lequel se sentaient à la fois la stupéfaction et l'admiration devant la performance à laquelle on venait d'assister, et les interrogations que...

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Image de la critique de Rue89 Les Blogs

lundi 08 juillet 2013

Une journée particulière avec Angélica Liddell

Par Jean-Pierre Thibaudat

Cela fait trois étés que cela dure, quand tu déboules du côté du 7 juillet au Festival d’Avignon, tu as rendez-vous avec Angélica Liddell. Les étés avec AngélicaC’est comme un résumé de l’année écoulée avec son lot de petits bonheurs (un mot qu’elle n’aime pas Angélica, qui lui fout le bourdon), de catastrophes, de tueries, et de solitude. Elle est seule, toi aussi comme tout être au monde, elle met le mal de vivre en mots à la portée de tous, le...

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Image de la critique de L'Express.fr

lundi 08 juillet 2013

Angelica Liddell brûlée par la rage.

Par Laurence Liban

Douce chaleur dans la cour du lycée Saint-Joseph où Angelica Liddell se démène comme un beau diable pour perdre les quelques kilos qu’elle a encore sur les os. Cette fille est un phénomène, on le sait depuis 2011, mais tout de même. Comment ne pas être estomaqué par cette folle dépense d’énergie mise au service d’un fait cent fois émis : « Je vais mal. » Enfin, j’en connais qui aimeraient aller aussi mal qu’elles, qui aimeraient avoir son sourire...

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