En 1893, Paul Claudel, jeune vice-consul de France, découvre l’Amérique. Il a 25 ans quand il écrit, entre New York et Boston, la première version de cette histoire simple – qu’il reprendra plus de cinquante ans plus tard. Dans une terre à peine civilisée, il plante des personnages qui sont autant de facettes d’une humanité archaque. Tout comme Paul Claudel, le metteur en scène Bernard Lévy avait déjà monté, en 1999, une première version de L’Échange. Entre théâtralité affichée et imaginaire made in Hollywood du rêve américain, il a cherché à faire entendre “la violence et la cruauté du texte claudélien, mais aussi son humour et sa sensualité”
Ces fonctionnalités sont réservées aux abonnés
Déjà abonné,
Je me connecte
–
Voir un exemple
–
Je m'abonne
Ces documents sont à votre disposition pour un usage privé.
Si vous souhaitez utiliser des contenus, vous devez prendre contact avec la structure ou l'auteur qui a mis à disposition le document pour en vérifier les conditions d'utilisation.