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Annabella (Dommage que ce soit une putain)

mise en scène Frédéric Jessua

: Présentation

John Ford, une génération après Shakespeare, clôt le cycle des grands dramaturges élisabéthains. Folie, vengeance, adultère constituent les thèmes majeurs de la période dite jacobéenne. Fougueuses et sombres, ces pièces ne permettent d’espérer aucun retour à l’ordre et traduisent le cynisme d’une époque de transition. Annabella pousse le principe à son comble : aucune promesse n’est honorée, aucune loi respectée, pas même l’interdit majeur, celui de l’inceste entre un frère et une soeur…
Artaud : « Annabella, c’est l’absolu de la révolte, c’est l’amour sans répit, et exemplaire, qui nous fait, nous spectateurs, haleter d’angoisse à l’idée que rien ne puisse jamais l’arrêter. Si l’on cherche un exemple de la liberté absolue dans la révolte, l’Annabella de Ford nous offre ce poétique exemple lié à l’image d’un danger absolu. »

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