Selon le philosophe allemand Adorno, écrire après Auschwitz relève de la barbarie. Les traumatismes de la Seconde Guerre Mondiale ont réduit la langue à son anéantissement le plus complet. Réfutant cette approche réductrice, Imre Kertész se confie dans Kaddish de l’enfant qui ne naîtra pas. Cette autobiographie du prix Nobel de littérature hongrois s’attache à retranscrire les souffrances de la Shoah dans une démarche rétrospective fragmentée...

Lire l'article sur Hier au théâtre

En début de saison, à l’Oeuvre, Jean-Quentin Châtelain nous régalait de son épatante interprétation du Gros Câlin de Gary-Ajar. Le voici de retour au même endroit, à nouveau seul en scène, avec l’adaptation d’un autre objet littéraire, « Kaddish pour l’enfant qui ne naîtra pas« , texte-prière-témoignage-confession coup de poing signé de l’écrivain hongrois Imre Kertész, prix Nobel de littérature 2002. Avec l’intensité qu’on lui connaît, cette...

Lire l'article sur Fous de théâtre

Joël Jouanneau adapte «Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas», du prix Nobel Imre Kertész: un immense monologue marqué par la Shoah et porté par le comédien Jean-Quentin Châtelain....

Lire l'article sur http://www.liberation.fr