Par Thomas Ngohong
samedi 31 mai 2014
Avec : Jean-Quentin Châtelain
C’est pour l’enfant auquel il n’a jamais voulu donner naissance qu’Imre Kertész prononce ici le kaddish – la prière des morts dans la religion juive. D’une densité et d’une véhémence peu communes, ce monologue intérieur est le récit d’une expérience confisquée par le souvenir de la tragédie concentrationnaire.
Proférée du fond de la plus extrême souffrance, la magnifique oraison funèbre affirme l’impossibilité d’assumer le don de la vie dans un monde définitivement traumatisé par l’Holocauste. Ce que pleure le narrateur, ce n’est pas seulement « l’enfant qui ne naîtra pas » : c’est l’humanité tout entière.
Par Thomas Ngohong
samedi 31 mai 2014
Par Thomas Baudeau
jeudi 22 mai 2014
Paris
Le
lundi 15 novembre 2004
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Théâtre Ouvert |
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