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J'ai rêvé la révolution

+ d'infos sur le texte de Catherine Anne

: Eléments de mise en scène

Elodie Quenouillère – Scénographie


Entendre le texte dans son universalité, son actualité frappante. Renoncer à toute référence historique pour laisser l’intemporalité nous percuter. Offrir une vision métaphorique de l’enfermement, physique pour la prisonnière mais aussi des enfermements mentaux, idéologiques, sociaux éprouvés par tous. Faire exister le hors-champ, le monde, le dehors chaotique, menaçant.


Pour souligner la mise en miroir des personnages de la mère et de la prisonnière, un espace très simple, dépouillé, offrant aux spectateurs la possibilité de voyager dans l’espace-temps et de tisser des liens sensibles entre leur réalité et la scène. Permettre des glissements entre le récit historique, la fiction, l’actualité, le fantasme, le rêve.


Alice Duchange – Costumes


Les costumes de J’ai rêvé la Révolution sont une rencontre entre des silhouettes contemporaines et historiques.
Chaque personnage au début de la fiction va nous apparaître comme pouvant être des personnes d’aujourd’hui, qui appartiennent à toutes les révolutions du monde.
Au fur et à mesure des scènes vont venir s’ajouter sur chaque silhouette des éléments de costumes historiques du 18ème siècle pour que notre histoire se raconte pendant la Révolution française.


Michel Theuil – Lumière


À l’intérieur de cet espace clos de murs de chemises, la lumière vient dessiner les derniers jours et les dernières nuits de la prisonnière.
Elle donne à percevoir intérieurs et extérieur, oppression de la cellule, atmosphère chaude d’une cuisine, rencontres à l’ombre des hauts murs de la prison.
À l’intérieur de cet espace mental, la lumière tente de faire vivre le texte, résonner les mots, voler les écrits…


Madame Miniature – Son


Faire entendre la voix intérieure d’Olympe.
Sa voix intérieure ou son double ou la mémoire de sa voix ou sa voix interprétée aujourd’hui ou sa voix poétique. Sa voix ou celle d’une autre aujourd’hui. Sa voix chuchotée, chantée, murmurée, emprisonnée, emmurée.
Et sa prison : les quatre murs, l’acoustique de l’enfermement. Cette prison bruissante, bruyante ou trop silencieuse.

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