: Jelle Marteel à propos de Quoipaspeut
On s’est inspiré des oeuvres d’art d’Erwin Wurm et des films de Michel Gondry. On n’a pas essayé d’en faire une histoire cohérente mais plutôt de créer une succession d’images sans paroles, et chaque image raconte une histoire qui peut toucher le public. Des objets familiers interagissent avec des personnages. Mais tout est suggestion. Non explicité. Non défini. Tout est susceptible d’interprétation et d’imagination.
Le fil rouge se résume à “rencontre” et “départ”. Entre personnages et entre personnages et objets. J’aspire à un jeu vulnérable avec de l’humour qui émeut et surtout: une envie de simplicité. Une simplicité qui n’est pas insensée mais très riche et intense.
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