theatre-contemporain.net artcena.fr

Accueil de « Orestie (une comédie organique ?) »

Orestie (une comédie organique ?)

Roméo Castellucci ( Mise en scène )

On en parle dans la presse et sur le web

Action parallèle

Image de la critique de Action parallèle

dimanche 07 février 2016

De Profundis

Par Sophie Rieu

L’adaptation de Castellucci reste relativement fidèle à la triple-tragédie originale, mais comme à son habitude il la truffe de symboles. Le Coryphée est un lapin dont le masque lisse et inquiétant rappelle la face d’une momie ; impression qui, couplée aux effets de sa voix évoquant le timbre étrange de Gollum (dans les adaptations de Peter Jackson du roman de

Lire l'article sur Action parallèle

L'alchimie du verbe

Image de la critique de L'alchimie du verbe

vendredi 22 janvier 2016

L'ange noir de la dramaturgie...

Par Raphaël Baptiste

Cette comédie organique est le fruit d'un travail technique et dramaturgique d'un ange noir aux ailes brûlées et dont le spectateur perçoit encore l'éternelle dévoration, et d'une troupe dont la puissance orageuse est de celle qui pourrait distiller les eaux miroitantes où l'homme dans son reflet, perçoit avec effarement ce qu'il feignait encore d'ignorer de lui-même......

Lire l'article sur L'alchimie du verbe

Carnet d'Art

Image de la critique de Carnet d'Art

mercredi 20 janvier 2016

Ou les backrooms des puissants.

Par Antoine Guillot

Il est l’ouvrier de la beauté violente, celui qui sait créer des images qui restent à jamais graver dans notre esprit, la preuve avec les intacts résidus qu’ont gardé les spectateurs de Hey girl en 2007 ou de L’enfer, le purgatoire et le paradis d’après Dante, en 2008. Il faut savoir se laisser porter par la cruelle poésie de l’univers complet qu’il nous propose....

Lire l'article sur Carnet d'Art

Les Trois Coups

Image de la critique de Les Trois Coups

mercredi 13 janvier 2016

Alice au pays des monstres ?

Par Léna Martinelli

Romeo Castellucci reprend son « Orestie ». Un spectacle à l’étrangeté radicale qui confirme l’accomplissement de ce grand, très grand, artiste. Vingt ans après, le metteur en scène italien a remis sur le métier la pièce qui lui valut sa reconnaissance internationale, un spectacle mythique qui n’avait alors tourné que dans trois villes de France. Quelle bonne idée ! Davantage qu’une reprise, il s’agit ici d’une (re)création. Après l’Odéon, les représentations

Lire l'article sur Les Trois Coups

Tragédie de l'inguérissable
Image de la critique de

Tragédie de l'inguérissable
Image de la critique de
Plus que valeur culturelle revisitée vingt ans après sa création par la Societas Raffaelle Sanzio, ce spectacle a pris statut d’objet trouvé. Il s’agit d’une Orestie « d’après Eschyle » et non de l’Orestie « d’Eschyle ». Ainsi, Roméo Castellucci dépouille-t-il le livret tragique de sa puissance poétique et littéraire consacrée. Ce qu’il vise, c’est, moins une Orestie au plus près du texte –mais une Orestie « de moins » pour parler avec Carmelo Bene- qu’une Orestie au plus près du corps –d’où son sous-titre de « comédie organique. »...

Lire la critique

Délibéré.fr

Image de la critique de Délibéré.fr

lundi 14 décembre 2015

Orestea, vingt ans après

Par René Solis

Bien sûr, le 13 novembre fausse la donne. Avant ou après, impossible de ressentir de la même façon, la représentation de la violence sur une scène de théâtre parisienne. Dans Orestea, l’adaptation par Romeo Castellucci des trois pièces qui forment L’Orestie d’Eschyle, cette violence cueille les spectateurs d’entrée. Elle est autant sonore (grondements d’avions et vrombissements d’hélicoptères, explosions, rafales d’armes automatiques) que...

Lire l'article sur Délibéré.fr

Attractions Visuelles

Image de la critique de Attractions Visuelles

dimanche 13 décembre 2015

Naissance de la tragédie

Par Karminhaka

1995-2005 : cela fait donc 20 ans que "Orestie (une comédie organique ?)" a été présenté pour la première fois au public et la tendance, lorsqu'on le découvre, serait de se dire : quelle modernité, avant de se demander de quoi participe exactement cette modernité. On se doute par ailleurs que pour Roméo Castellucci, reprendre une telle pièce en forme d'anniversaire n'a tout simplement pas de sens......

Lire l'article sur Attractions Visuelles

Libération.fr

Image de la critique de Libération.fr

jeudi 10 décembre 2015

Vingt ans après qu "Orestie" t-il ?

Par Didier Péron

«Certaines scènes de ce spectacle peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes, il est déconseillé aux moins de 16 ans», prévient le programme. A l’entrée, des boules Quies sont distribuées. La reprise à l’Odéon d’Orestie (une comédie organique ?), créé par Romeo Castellucci en 1995 et qui devait l’imposer sur la scène internationale, est entourée de précautions qui ne suffisent pas à atténuer l’agressivité anxiogène de la représentation....

Lire l'article sur Libération.fr

La Croix

Image de la critique de La Croix

lundi 07 décembre 2015

Le théâtre des énigmes

Par Didier Méreuze

Grand invité du Festival d’automne, l’Italien Romeo Castellucci reprend cette mystérieuse mise en scène de « L’Orestie ». Il l’avait créée à Prato, en Italie, il a vingt ans. La guerre est finie. Troie est détruite. Vainqueur, Agamemnon, le roi d’Argos, rentre chez lui. Il ne sait pas que Clytemnestre, son épouse pleine de rancœur et de colère s’apprête à l’assassiner. N’a-t-il pas immolé leur fille, Iphigénie, afin de s’attirer la faveur des...

Lire l'article sur La Croix

Les recommandations des médias

Image de spectacle Le Malade imaginaire ou le silence de Molière
Image de Le Malade imaginaire ou le silence de Molière

Arthur Nauzyciel

sam. 27/04/24

à Paris

- La Villette
Image de spectacle Jours de joie
Image de Jours de joie

Arne Lygre, Stéphane Braunschweig

du sam. 27/04/24 au dim. 05/05/24

à Paris

Odéon-Théâtre de l'Europe

Image de spectacle Clôture de l'amour
Image de Clôture de l'amour

Pascal Rambert

du sam. 27/04/24 au sam. 04/05/24

à Paris

Théâtre 14