: Note du scénographe
La scénographie part d’un principe circulaire, sur l’idée de l’agora.
Elle est délimitée dans sa circulation par la présence des spectateurs et celle d’un musicien, le public s’intégrant dès lors symboliquement à l’histoire.
Le parti pris du décor en carton et boîtes d’archives s’assume comme le simulacre même d’un tribunal. Espace du présent, du jeu, du témoignage et de la parole, le décor est lieu de comparution quand il est habité par la comédienne.
Espace du souvenir, de l’histoire des enfants, de l’image du passé, il est lieu du récit quand il devient support de projections vidéo. L’accumulation d’archives crée ici des profondeurs et donne du relief à l’image et à la narration. Une scénographie pensée comme lien entre le récit, la vidéo et le théâtre.
Marlène Llop
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