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On en parle dans la presse et sur le web

Image de la critique de Au poulailler

mercredi 11 février 2015

La mise en scène se laisse happer par le vertige du vide

Par David Larre

C’est un Ivanov vidé de lui-même, comme frappé de burn-out, dépressif, pas même capable de distraction, que Luc Bondy, confiant le rôle-titre à son fidèle Micha Lescot, a souhaité donner à voir sur la scène de l’Odéon. Dans une immense scénographie de Richard Peduzzi où la silhouette longiligne de l’acteur s’encadre dans des découpes emboîtées et distantes, Ivanov ne peut trouver sa place ni dedans ni dehors...

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Image de la critique de Rue89 Les Blogs

dimanche 08 février 2015

Un noir vaudeville

Par Jean-Pierre Thibaudat

Tchekhov n’a pas 30 ans quand il écrit sa première grande pièce jouée, "Ivanov", la plus cruelle, la plus désespérée, la plus impitoyable.Tout y est noir chez ce « chantre de la désespérance » comme le surnommera Léon Chestov dans une étude époustouflante traduite par Boris de Schloezer, qui mériterait d’être rééditée.Chestov voit dans « Ivanov » une pièce où « presque chaque ligne pleure » entendez de tristesse, d’impuissance, de no future. Il...

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Image de la critique de Allegrotheatre

dimanche 08 février 2015

Tchekhov prétendait écrire des comédies.

Par Joshka Schidlow

Comme quasi toutes les pièces de Tchekhov "Ivanov" a pour cadre une province minée par l'ennui.Ivanov est un homme ruiné, qui n'a pour lui-même aucune considération et est marié à une femme juive pour laquelle il n'éprouve plus de sentiments et qui se meurt d'une tuberculose. Soir après soir il se rend dans un salon tenu par une femme d'une inimaginable ladrerie à laquelle il doit une importante somme de roubles. Le temps y passe au fil de...

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Image de la critique de LeJDD.fr

samedi 07 février 2015

Un Ivanov de Tchekhov tout en noirceur

Par Annie Chénieux

Luc Bondy signe une mise en scène brillante et nocturne mais dénuée d’émotion, de la comédie sociale de Tchekhov....

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Image de la critique de La Parafe

vendredi 06 février 2015

Subtiles variations

Par F

Alors qu’à la Colline se joue encore le Platonov des Possédés jusqu’au 11 février, Luc Bondy s’empare à l’Odéon de la deuxième pièce du dramaturge russe, Ivanov. De la première œuvre de Tchekhov qui n’a jamais été jouée de son vivant à la deuxième, l’écart est considérablement creusé par la confrontation de ces deux spectacles. [...]...

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Image de la critique de Un fauteuil pour l'orchestre

vendredi 06 février 2015

Mais qui est réellement Ivanov ?

Par Anna Grahm

Il se dit être un homme honnête. Mais qui est réellement Ivanov ? Lorsque le public entre, il est assis sur un tabouret comme un enfant puni, comme un insecte agrippé au mur du fond. Mais le fond découvre vite des arrière-fonds, une cour pleine de malles en bois, une maison cossue pleine de musique. Dès le début, Luc Bondy installe son personnage perdu dans un décor de cathédrale, instille la mélancolie et l’immensité et la solitude. Car plutôt...

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Image de la critique de Liberation.fr

jeudi 05 février 2015

«Ivanov», champion de l’autodérision

Par Hugues Le Tanneur

Ivanov passe au milieu des autres, ombre filiforme que sa propre présence accable. Micha Lescot lui donne un aspect hésitant où affleure une nuance d’ironie dévastatrice. Ivanov fait jaser. Il aurait épousé Anna Petrovna, une juive, pour son argent. Fâchés, les parents de cette dernière leur ont coupé les vivres. Les jours d’Anna, atteinte de tuberculose, sont comptés. En plus, Ivanov a cessé de l’aimer. Par certains côtés, il évoque un homme en...

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Image de la critique de PublikArt

mercredi 04 février 2015

Une mise en scène captivante et éclairante

Par Amaury Jacquet

Ivanov, l’un des plus grands succès d’Anton Tchekhov, est une pièce de jeunesse dans laquelle l’architecture et les thèmes tchekhoviens sont présents. On y côtoie déjà la vacuité de l’existence et l’empêchement à se réaliser où Ivanov est la figure centrale, radicale et noire. Où tout l’enjeu dramaturgique se concentre sur cette question : Vivre, comment est-ce possible ? dans une fuite en avant aussi absolue qu’illusoire.

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Image de la critique de Théâtre du blog

mardi 03 février 2015

Terrible fin de partie!

Par Philippe du Vignal

Le jeune médecin Anton Tchekhov a vingt sept ans seulement, quand, en 1887, il écrit cette première version de la pièce. Mais il a déjà écrit Platonov, (ce que personne ne sait à l’époque, puisqu’on n’en retrouvera le texte que vers 1920!) Et de nombreuses nouvelles. Cette pièce en quatre actes est assez peu jouée en France: pas facile à maîtriser, elle exige aussi des comédiens qui puissent prendre en charge des rôles importants. Ivanov...

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Image de la critique de Financial Times

mardi 03 février 2015

Chekhov’s rarely-performed early play has much to recommend

Par Laura Cappelle

I It’s not often you hear a character yell “Dirty Jew” at his wife onstage. The casual anti-semitism that runs through Chekhov’s first play to reach the stage, 1887’s Ivanov, may explain in part why it is so seldom performed. The abuse directed at Ivanov’s tubercular wife, Anna, is certainly true to the provincial Russian society of the time that Chekhov set out to depict;...

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