: Le texte
Infiniment là n’est pas un caprice, un passe-temps, une subite démangeaison.
Non.
Ce texte est surtout un trait d’union avec mon frère décédé dans un accident de voiture.
Ce texte arrive après d’autres, des adaptations écrites pour la scène : Méphisto d’après Klaus Mann, La ronde d’après Arthur Schnitzler, Un Volpone d’après Ben Jonson, La Conversation d’après Lorette Nobécourt.
Ce texte est un monologue écrit tantôt en vers libres, tantôt en rimes, tantôt en dialogues.
J’y mélange gravité et légèreté.
Terre et air s’y frottent.
Le langage poétique me convient, aujourd'hui, il décale le réel et relève le quotidien.
Il multiplie les sens.
Les auteurs que j’aime : Bob Dylan, Léo Ferré, Brigitte Fontaine, Bertrand Canta, Wajdi Mouawad, Valère Novarina, Pierre Dac, Raymond Devos, Aragon, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, et d’autres encore…
J’écris avec le rythme de ma vie qui est éclatée et se sent bien dans les passages de vitesses.
Anne Conti
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