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Gente di Plastica

+ d'infos sur le texte de Pippo Delbono
mise en scène Pippo Delbono

: A propos de la pièce

Plastic people!
Oh, baby, now
You’re such a drag

I’m sure that love
Will never be
A product of Plasticity
A product of Plasticity
A product of Plasticity
PLASTIC, PLASTIC PEOPLE
You
Are
PLA-HA-HA-HA-HA-PLASTIC
Frank Zappa, Plastic People, 1967



Les spectacles naissent à partir des suggestions les plus différentes et inopinés, a partir de parcours étranges donnants aux premières idées, couleurs et nuances qui se mélangent comme sur la palette d’un peintre, avant de se fixer sous les formes voulues. Le fil de l’horizon bouge selon notre regard, c’est une figure géometrique changeante, comme le théâtre de Pippo Delbono est un miroir, miroir d’images et de souvenirs du présent et du passé, tranche de vie plongée dans la quotidienneté.


Ce nouveau spectacle naît directement à l’abri de la vie, a partir de visions et de métaphores d’une societé qui change sans cesse et où il est necessaire de garder les racines, les mémoires, les “ couleurs ” , qui évitent la chute dans l’homologation des formes et des idées.


Il s’agit, donc, d’un spectacle qui cherche, avant de trouver, un spectacle où se mélangent le charme des mots des anciennes cultures avec les images de la frontière américaine, les hommes avec les grands chapeaux et leur visage brûlé par le soleil…
ça et beaucoup d’autre encore, comme à rapprocher le contemporain et l’histoire, le présent avec la mémoire de l’antiquité : idées qui appartiennent déjà à la conscience de tout le monde et sont là, en attendant une image, une musique, un tableau, une source d’emotion.


Pippo Delbono aime se mesurer avec la vie réelle, celle de la rue, de la culture populaire, de la difference, mais aussi celle de la mode, de la télévision, du marketing…
Ses spectacles sont tous des organismes vivants qui changent dans un intrigue magique de réalité et d’illusion théâtrale.
On se retrouve cette fois avec sous les yeux, un plateau du possible, où on embrasse le goût du paradoxe, qui devient image, poésie d’une ironie mélancolique, qui regarde la réalité sans oublier la profondeur de la douleur humaine.

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