jeudi 22 mai 2014
Le rêve éveillé de Maeterlink
Par Brigitte Salino
Tout le monde peut se tromper. Célie Pauthe aussi. Cette jeune femme qui a signé de belles mises en scène déçoit tristement avec Aglavaine et Sélysette. En sortant du Théâtre national de la Colline, où le spectacle est présenté, on se demande comment et pourquoi on en est arrivé là, soit à une soirée monotone, sans vision ni enjeux, du moins apparents. Il y avait pourtant, dans la pièce de Maurice Maeterlinck, de quoi satisfaire le goût de Célie...