Ce spectacle intrigue, étonne, peut enchanter ou déplaire. Mais ces remarques ne sont pas que défauts et peuvent être ressenties comme des qualités évidentes et Rabudôru a le mérite de ne ressembler à aucun autre spectacle.

Face à l'historique mise en scène de La Cantatrice chauve à la Huchette, qui se joue depuis 1957 (Nicolas Bataille avait cultivé une imagerie british...

Cette version de la Cantatrice chauve de Pierre Pradinas, créée en octobre 2016 est toujours en tournée, avec Romane Bohringer en tête de distribution dans le rôle de Mrs Smith. On ne boude pas son plaisir. La pièce arrive au 13ème Art....

Elle est comédienne au cinéma et au théâtre. On la retrouvera bientôt dans "La Cantatrice Chauve" de Ionesco. Romane Bohringer est l'invitée d'Augustin Trapenard....

On ne reviendra pas sur l’un des plus célèbres lapsus de l’histoire du théâtre, celui d’Henri-Jacques Huet lors de la création de la pièce de Ionesco, qui lui fit substituer à L’anglais sans peine …...

Pierre Pradinas, bien inspiré, a mis en scène ce monument du théâtre de l’absurde. On se souvient de la Cantatrice chauve, ceux qui ont lu le livre n’ont pas pu l’oublier. Une pièce rare, un bijou du genre et les lecteurs ont sûrement gardé en mémoire ces personnages décalés de la pièce d’Eugène Ionesco : Monsieur et Madame Smith et Monsieur et Madame Martin, la bonne Mary, et enfin, le capitaine des pompiers. Des personnages à priori « normaux »...

Romane Bohringer est à Limoges jusqu'au 18 octobre 2016 sur les planches du théâtre de l'Union pour "La Cantatrice chauve". Mise en scène par Pierre Pradinas, la célèbre pièce du dramaturge Eugène Ionesco reste un régal de mots et de situations burlesques qui résonnent encore avec l'actualité....

Dans ce format supposé plus dense, la réplétion formelle passe vite pour une tentative de séduction tape-à-l'œil, celle d'un théâtre aux airs de blockbuster, qui redoute d'ennuyer....

Thomas Jolly, la nouvelle coqueluche du théâtre, n’a pas fini de faire parler de lui ! Après son entrée fracassante, par la grande porte, avec « Henri VI », le voilà programmé à l’Odéon où il met en scène un « Richard III » dont il incarne lui-même le rôle-titre. Bluffant !...

Richard III... Sa description seule ferait mourir de peur n'importe quel Quasimodo. Tordu, bossu, desséché, dératé, dentu à la naissance, bancal, pas voulu, pas aimé, pas aimable, pas fini. Expulsé avant terme comme une huître avariée et pire que ça....