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Dernières critiques
Journal Zébuline
mercredi 29 mars 2023
Par Chris Bourgue
Portée par des comédien·nes brillant·es, Léa Menahem donne une adaptation réussie du Grand Cahier de la romancière Agota Kristof....
RMTnews International
vendredi 17 mars 2023
Bonheurs de Jimmy Jackson : Le Grand Cahier à la Joliette
Par Rmt News Int
Je suis ébloui par le parti pris de Léa Menahem, qui nous fait pénétrer dans cet enfer par la porte du Conte Fantastique. Les atrocités y sont beaucoup plus suggérées que montrées. Les masques contribuent à donner un aspect presque grand-guignolesque, lorgnant du côté du théâtre de marionnette, tout comme le jeu des acteurs, très stylisé, sans oublier le recours aux jeux des ombres en transparence....
Expressions
lundi 09 janvier 2023
« Le Grand Cahier » : monstrueusement humains
Par Jean-Charles Lemeunier
Présentée le 13 janvier, la création de la compagnie Transports en commun traite d'un monde en guerre vu par le regard de deux enfants....
hottellotheatre
mercredi 10 juillet 2019
Un bel éloge de l’art du clown...
Par Véronique Hotte
Un bel éloge de l’art du clown, à travers deux interprètes de talent, Léa Menahem et Jimmy Marais, dirigés par un metteur en scène non moins éclairé, Philippe Delaigue. L'auteur découvre dans cette écriture « pour des créatures qui n’appartiennent ni au temps ni à l’histoire », des trésors d’inspiration, voire une révélation, la découverte d’une machine à rêve. Ils sont des figures d’étrangeté atemporelles qui se rapprocheraient de l’enfance....
Théâtre du blog
jeudi 02 février 2017
"Meurtres de la princesse juive", histoires d’amour, joyeuses ou cruelles
Par Elisabeth Naud
Les jeunes acteurs s’emparent avec fougue et sincérité de ces histoires d’amour, joyeuses ou cruelles, de ces couples aux destins multiples, poétiques, voire délirants, qui laissent certains spectateurs un peu déroutés, mais heureux....
Lycée Louis Armand
vendredi 27 janvier 2017
Par les élèves de 202 et 206
« Pourquoi les chats n’aiment-ils pas l’eau ? Parce que dans l’eau, minet râle. » Les rires fusent dans la salle comme sur scène, un moment hors du temps dans un éclat de rire général. Michel Didym a parfaitement su mettre en scène la pièce d’Armando Llamas, nous choquant, nous attristant, et nous mettant parfois mal à l’aise, pour finir par tout dédramatiser par une touche d’humour, souvent même plus, nous faisant changer nos larmes de tristesse...
Culturebox
mardi 06 décembre 2016
Michel Didym met en scène les désillusions des années 80
Par Odile Morain
Le metteur en scène Michel Didym présente au CDN La Manufacture de Nancy "Meurtre de la princesse juive". La pièce au titre énigmatique d'Armando Llamas, suit une trentaine de personnages qui se cherchent et font le deuil des années 80. Après Nancy (du 3 au 11 novembre), le spectacle partira en tournée....
Théâtre au Vent
dimanche 13 novembre 2016
Le monde n’est pas une abstraction
Par Evelyne Tran
On les voit tournicoter tout autour de cette grande sphère humaine, la terre, ils s’appellent, ils ne s’appellent pas, ils croient se rencontrer, ils se séparent, on leur a parlé de voyages qu’ils soient vendeur nigérien de gadgets dans les bars, petites employées avec leurs sacs de pacotilles rêvant de partir à Londres, coopérant au Pakistan,
La Revue du Spectacle
jeudi 10 novembre 2016
Saisir dans l'intensité et la vitalité, l'instant éphémère de la rencontre
Par Jean Grapin
Une joie acidulée et pleine d'entrain s'empare de la pièce et les jeunes comédiens, tout juste sortis de l'ENSATT, trouvent les gestes et les couleurs qui conviennent, saisissent dans l'intensité et la vitalité, l'instant éphémère de la rencontre, le rendent tangible, élaborent l'effet théâtre par lequel le public a le plaisir de partager quelque chose de commun à l'humain....
Rue du théâtre
samedi 05 novembre 2016
"Meurtres de la Princesse juive", bon titre, publicité mensongère
Par Cécile Strouk
Le talent affleure de partout dans l'interprétation de ce texte écrit par un auteur espagnol iconoclaste. Pour l’avoir présenté à la Mousson d’Été (festival d’écritures théâtrales se déroulant en août près de Metz), Michel Didym a su trouver l’ampleur scénique nécessaire pour donner vie à cette narrativité subtilement crue....