Pièce politique La Rage / Et à la fin nous serions tous heureux met en scène deux personnages aux parcours de vie et à l’origine sociale bien différents, qui confrontent leur rapport à la liberté, au commun.

Pièce intime, écrite à partir d’improvisation des deux comédiens et d’entretiens avec leurs proches, elle explore et expose des sentiments : enfermement, révolte, bonheur…

Pièce documentaire, elle raconte le dialogue entre un comédien professionnel et un ex-détenu, comparant leur expériences et leurs aspirations, si proches, si éloignées.

« En rencontrant la prison, ce qui nous a marqués, c’est combien c’est un espace de vie, mais aussi un espace social, qui nous concerne tous. Par le théâtre et la danse, c’est avec une subjectivité totale que nous y entrons. Ce qui nous intéresse, et nous touche, c’est comment l’individu se compose, entre imprégnation et lutte, acceptation et révolte. La Rage… s’est écrit autour de la rencontre entre un comédien, un ancien détenu, une danseuse et une violoncelliste. »