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Couverture de Mon ami Pierrot

Mon ami Pierrot

de Faubert Bolivar

Texte original : Mon ami Pyero traduit par Faubert Bolivar


Mon ami Pierrot : Forme et style de la pièce

Dans la postface de la pièce, Laëtitia Ajanohun écrit :

  • « Et en creux, tout en creux, entendre votre langue, votre voix, qui enlumine les traverses d'une histoire tailladée à la hache comme l'est celle d'un fait divers. Les « tragédies » finalement peuvent se résumer assez brièvement. Mais dans Mon ami Pierrot vous accompagnez cette ligne droite qui conduit au désastre de diagonales qui avancent et reculent et permettent d'éclairer les alentours, les angles morts. Ces diagonales sont tantôt fables, tantôt soliloques, tantôt comptines repêchées dans l'enfance. Cette langue, la vôtre, n'est pas imposante, elle est mouvante, polymorphe. Elle adopte la pulsation appropriée à la pensée de chaque personnage qu'elle façonne ; tout en laissant la place à l'imagination du lecteur, de cet acteur qui habitera vos mots ou en sera habité. »

→ Comment, selon vous, la poésie de la langue rend-elle compte de la violence de la pièce ? Appuyez-vous particulièrement sur les stances de Ketura (pages 97-99 et 131-133), le monologue du chef (page 148), le conte (pages 119 à 122).


→ Relisez le paragraphe « le bégaiement de Pierrot » de la lettre de l'auteur. En quoi est-ce important de « dire » ?


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