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Écrit en 2010 - français

Présentation

« ... De la société, j’aime les gens qui la forment, j’aime les gens un par un. Je n’aime plus les régimes, ni les gouvernements, ni les idéologies, ni le marxisme. Je ne crois plus à rien du tout, seulement à l’individu et à sa propre survie, à sa propre liberté, à sa propre sauvegarde et à sa propre grâce, à sa propre immensité. » (Marguerite Duras à Montréal) Ainsi en politique, par-delà la réussite de François Mitterrand, par-delà les propositions socialistes vouées à l’échec, par-delà cette lucidité, ce désespoir, Duras se raccroche à la beauté de la personne de l’ami-président, sa noblesse : Duras appréciait la souveraineté de Mitterrand, son ami – la mort les emporta tous deux la même année 1996, à deux mois d’intervalle. Elle admirait son ambition et son ascension.

Complément d'information

Et d'après les Entretiens audio inédits publiés en Cd chez Frémeaux et Associés)