Le Pont du Nord : La fiction
par Marie Fortuit
De la chanson Le Pont du Nord, j’ai gardé le titre du spectacle, le prénom Adèle et le lien puissant, mystérieux, dangereux, cet amour qu’un frère et une sœur peuvent tisser.
Comme dans la chanson, un pont s’effondre pendant le bal où Adèle et son frère Octave sont venus danser. Alors, Adèle quitte son Nord natal.
Quand ce soir-là elle attend son frère venu passer un entretien d’embauche, dix ans se sont écoulés depuis le bal. Leur grand-mère vient de mourir. Ressurgissent les terrains de football, l’ombre de la mère, le travail du père, les danses et les terreurs de l’enfance, l’amour inextinguible.
Autour de ces retrouvailles, deux autres personnages apparaissent. Kosta, le gardien de l’immeuble d’Adèle, il passe ses jours et ses nuits à jouer du piano. Résonnent, dans ses errances musicales, les harmonies de la vieille Europe.
Sonia est pilote de ligne, Adèle l’a rencontrée récemment dans un aéroport où elle faisait un reportage photo. Entre les deux femmes une relation épistolaire commence.
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