Écrit en 2019 - français
Présentation
Mauvaise farce, tragédie lucide, dystopie joyeuse… L’homme qui dormait sous mon lit esquisse un monde parfait où une prime d’indemnité serait allouée aux citoyens
responsables qui hébergent un réfugié, où une récompense supplémentaire leur serait accordée au cas où ledit réfugié, poussé à bout, se suiciderait, sans faire de tache. Zéro culpabilité. Parce qu’un bon migrant est un migrant qui se suicide, proprement, sans engager la responsabilité de la France, de l’Allemagne ou de l’Italie. Mais on
compatit, naturellement. On n’est pas des chiens…
Le texte par l'auteur
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