Julie ne parle pas, elle se balance. Ses proches et le personnel qui s’occupe d’elle sont venus fêter son anniversaire dans sa chambre de l’Institution. Ils parlent d’elle et d’eux, expriment la crainte de ne jamais la voir guérir de cet état. Mais puisque les mots sont malhabiles, ils trouveront par la magie de la danse, le moyen de retrouver l’espoir, celui d’une chaîne affective qui ne s’est jamais vraiment rompue.