Beastie Queen, c’est surtout l’histoire d’une tête de mule, de linotte, de lard, de bois, brûlée… Le personnage qui nous intéresse est une princesse qui a toujours eu le beurre et l’argent du beurre, une enfant gâtée qui n’a pas eu l’habitude de choisir : elle est et elle a, un point c’est tout. Certes, ses parents souverains lui ont transmis professionnellement l’art de la désinvolture face à la souffrance d’autrui, mais de toute façon c’est une teigne par nature. Aujourd’hui, elle compte bien se servir de ce caractère avantageux pour faire pleurer sa mère, son père et tous les princes charmants qui lorgnent sur son héritage et son décolleté. L’histoire commence ici… Une histoire méchante, pour rire de l’égoïsme, de la mort, de l’hypocrisie et de tous les trucs qui énervent sans pouvoir s’en débarrasser. Un théâtre d’objet teinté de manga et de 007, où tous les coups sont permis. Gardez vos distances…