Par Christine Friedel
lundi 14 décembre 2015
Chaque spectateur est convié à venir attendre Godot qui comme on sait ne viendra pas. Alors pourquoi l’attendre ?
Yann-Joël Collin pousse d’un cran le radicalisme de Beckett en se demandant, avec humour, que faire pendant cette attente. C’est prendre le risque, acteurs et public, de rencontrer le visage de notre humanité. « Ils aperçurent soudain, disait Tadeusz Kantor, l’image de l’homme, criarde, tragiquement clownesque, comme s’ils le voyaient pour la première fois, comme s’ils venaient de se voir eux-mêmes ».
(création)
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Mâcon
Le 20/11/2018
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Le Théâtre - Mâcon Scène Nationale |