Au début, il faut naître, trouver son équilibre, tomber, se relever, avancer et mieux sauter, jouer et… grandir.  Allez, quand faut y aller, faut y aller : Yaka ! C’est l’histoire d’un drôle de petit bonhomme qui s’évertue, danse et joue à l’acrobate. On le taquine avec malice, le regarde avec tendresse, le cajole, le manipule et l’oppresse parfois !

Comment y échapper ? Ce sera l’aventure de Yaka !

Yaka nous embarque dans son monde moitié poétique, moitié forain, peuplé de ballon, de fil tendu,  de plongeoir, de chaussures à clochettes et de scie qui coupe ! Il est fou, rêveur, blagueur, téméraire, beau, et on plonge avec lui dans l’absurde, l’héroïsme et le psychédélique.

Yaka est une allégorie de l’apprentissage et de la vie.

Yaka c’est une plaisanterie, une envie de jouer. C’est deux marionnettistes complices. Comme deux enfants, elles s’amusent.

Yaka c’est deux bouts de mousse et une boule ; et un monde à inventer. Et hop ! Yaka y croire ! Et hop ! Yaka y mettre encore et encore cette envie de jouer ensemble ; et puis de l’amour ! Et hop ! deux bouts de mousse s’animent. Et hop ! Mais qu’est-ce qui s’ébroue là ?

Sacré petit bonhomme ! Et hop ! un caractère s’affirme : il sera têtu ! Un destin se dessine : ce sera l’aventure ! Yaka y croire, y mettre de la délicatesse et toute un monde de malice. Alors…

Le drôle de petit bonhomme grandit Il s’évertue, il tombe et se relève, il danse et joue à l’acrobate. On le taquine avec malice. On le regarde avec tendresse. Il échappe à ses créatrices, on découvre sa poésie. Et on danse avec lui, on tombe avec lui, on perd la tête ! C’est beau la vie !

Avec Yaka, la question posée est ludique et malicieuse : ne suffit-il pas de croire à ce que l’on veut créer pour que cela s’anime ? Et qu’alors cela devient celui-là ? Alors comment accompagner ce petit être ? Le faire grandir ? Et alors comment grandir ?