J’ai écrit Une étoile avec la voix si déchirante de Piaf qui rodaitautour de moi en chantant : Sans amour on n’est rien du tout. Rien. Non. Au soir de sa vie, que serait Léna sans l’amour qui la lie à Paul, son fils, pourtant parfois si dur avec elle, que serait-elle, oui, sans cet amour qui la tient debout autant que par moment, il la fait vaciller ? Et sans l’amour qui la liait à son compositeur de mari, lui dans la lumière éclatante et écrasante de la gloire, elle dans celle plus ténue, qui l’éclairait lorsqu’elle dansait, modeste sujet, sur la scène de l’opéra,...
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