: Note d’intention
Il était une fois un monde d’apparences.
Un monde où il faut être parfait, être riche, avoir de l’instruction,
Être beau, être belle.
Il était un monde où l’on cache ses bêtes, un monde d’illusion...
Un monde comme un conte d’enfant.
Il était une fois une belle, une bête et une rose...
Il était une fois un monde d’apparences...
Si nous puisions aussi dans nos instincts ; dans nos sens, dans notre autre intelligence.
Si nous n’étions pas dressés, éduqués à vouloir ressembler aux images remplies d’images.
Si nous étions aventuriers de la vie...
Si nous sortions nos masques de beauté, d’assurance, de réussite...
Si l’homme savait regarder avec ses yeux et non simplement avec ses croyances...
Si nous n’avions pas peur du regard de l’autre…
Peut-être qu’alors ?
L’amour et le plaisir de la métamorphose seraient au rendez-vous...
Comment pouvons-nous imaginer raconter l’indescriptible ?
L’insondable ? Sensations de nuit et de jour…
Comment aller au-delà des apparences ? Du paraître ?
Un murmure... une respiration quelque chose qui est là…
C’est une chose, une bête, tapie depuis longtemps… elle attend
C’est envahissant, prenant, pénétrant..
Un grand portail s’ouvre vers un ailleurs…
Des sculptures nous racontent…
Des ombres viennent obscurcir notre regard
Florence Lavaud
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