vendredi 06 décembre 2013
La rage créative d’Angelica Liddell
Par Stéphane Boularand
Il y a deux ans déjà son « Maldito sea el hombre que confía en el hombre » en ouverture de la collection d’hiver avait montré combien la rage créative d’Angelica Liddell pouvait être un terreau riche d’où pouvait sortir des images d’une incroyable puissance. Le « Todo el cielo sobre la tierra (el sindrome de Wendy) » qu’elle a présenté vendredi et samedi au Parvis, à peine cinq mois après le festival d’Avignon, est dans la même veine....