: Note de Philippe Labaune
« Des paysages nés de la lecture. Des paysages nés autour de la simple
lumière d’une veilleuse dans le noir. A la table.
Des paysages nés de la voix qui lit son propre texte.
Ecouter Jean Marie Gleize lire ses textes c’est à chaque fois une expérience
étrange et douce.
C’est une voix fragile et qui avance pourtant sur la page. Une voix
tendre. Une voix lumineuse qui sort du noi noir. Une voix qui pose
immédiatement la question de l’intime. Une voix impudique dans
l’offrande qu’elle fait de ses faiblesses. Musicalement presque fausse.
Une voix d’enfance.
Intégralement nue »
Philippe Labaune
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