mercredi 13 mars 2019
Grâce et rudesse, musicalité et rugissement.
Par Martine Fehlbaum
C’est dans une petite chambre chaleureuse et intime, illuminée de bougies, meublée de tables-coiffeuses personnalisées par des photos, que nous sommes accueillis. Une jeune femme à la longue chevelure blonde joue de la musique baroque sur un superbe clavecin à queue muni d’un double clavier. Des partitions jonchent le sol. Nous écoutons, transportés dans un monde de délicatesse et de raffinement. Mozart, Purcell, Haendel…