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Au sommaire de cette Dispute spectacles vivants : “Qui a tué mon père” au TNS, “Les Elucubrations d'un homme frappé par la grâce” au Théâtre Antoine, et “L'Amour en toutes lettres. Questions sur la sexualité à l’Abbé Viollet" (1924-1943)” au Théâtre de Belleville. Enfin, un coup de coeur (Amour et Psyché).
Théâtre et littérature avec Stanislas Nordey, acteur et metteur en scène. Il dit sur scène "Qui a tué mon père ?" d’Edouard Louis au théâtre de la Colline à Paris, un texte de réconciliation et un manifeste politique. Stanislas Nordey est aussi directeur du Théâtre national de Strasbourg.
Stanislas Nordey fait entendre les mille nuances du texte bouleversant d’Edouard Louis. Le silence entre le père et le fils, les quelques moments d’amour, la violence des rapports familiaux, et les retrouvailles alors que le père n’est plus qu’un corps brisé par la société.
Metteur en scène, comédien, mais aussi directeur du Théâtre National de Strasbourg, c’est à La Colline qu’on le retrouvera dans deux semaines pour "Qui a tué mon père", le très beau texte d’Edouard Louis. Texte de confrontation, texte politique, texte d’amour. Stanislas Nordey est l'invité d'Augustin Trapenard.
L’écrivain publie "Qui a tué mon père" (éditions Seuil). A travers le récit de son enfance, il revient sur l'histoire de son père qu’un accident de travail a physiquement et psychologiquement broyé, et s’adressant à lui, sur cet amour qu’enfin, il lui avoue.
On ne connaît jamais le père et la mère qui nous ont fait. Edouard Louis publie son troisième roman, "Qui a tué mon père" (Seuil), sans point d'interrogation, un cri d'amour mais aussi un pamphlet politique.
Il est sociologue et écrivain. Depuis "En finir avec Eddy Bellegueule", il y a quatre ans, il continue d’analyser les mécanismes de la violence et de la domination sociale. "Qui a tué mon père", son nouveau livre, sous forme de réquisitoire, vient de paraitre. Edouard Louis est l'invité d'Augustin Trapenard.