: Présentation
Ecritures : Transquinquennal , Christine Aventin, François le Lionnais, Guy Bedos et Albert Heim
La beauté... Voilà bien un mot qui est comme un puits sans fond. Il ouvre directement sur une question immense. On ne peut l’approcher que sous la forme de l’interrogation. Qu’est-ce que la beauté ? Que nous dit-elle aujourd’hui et maintenant ? A quoi sert-elle ?
Dans le spectacle, elle n’agit pas comme sujet, mais plutôt comme parataxe : un mode de construction suffisamment ouvert pour permettre à chacun de créer ses propres liens.
a : À quoi ça sert d’être beau, me demande mon fils.
À quoi ça me sert d’être belle, me demande la Vénus de Botticelli.
Vous-même, vous êtes beau (ou belle), très belle (ou très beau), mais est-ce que vous savez pourquoi ?
b : Le bilan totalitaire et génocidaire du XXème siècle n’a-t-il pas réduit la trinité beau-bien-vrai en miettes?
Étant entendu que ces admirateurs du beau ont commis les pires crimes, pourquoi n’avons-nous pas laissé le beau disparaître avec eux ?
Et si ce que nous avions encore en commun avec eux c’était ça : le goût du beau ?
c : Because beauty isn’t enough, there must be something more. Eva Herzigova
(a + b) · √c = 41 : le plus beau spectacle de Transquinquennal.
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