Par un beau soir d’automne, Jules s’est décidé à franchir le pas. Il se rend à la balançoire de l’aire de jeu la plus proche, et se pend. Quelque chose cependant ne se passe pas comme prévu. Un détail. Il ne meurt pas.

Arrive Nana, qui a sensiblement le même projet. Le résultat est le même. Ils sont maintenant condamnés à vivre ensemble, si l’on peut dire, liés par quelque chose qui les dépasse d’un bon 80 centimètres ; une potence.

Mimie fait des rondes, de nuit, pour tenter de sauver les suicidés à coup de méditation transcendantale, ce qui ne marche jamais. Pour la première fois, elle va trouver non pas un, mais deux pendus qui lui répondent.