jeudi 16 juillet 2015
Un sommet de l’écriture absurde
Par Stéphane Capron
Avec cette pièce Pierre Notte se hisse en digne successeur de Beckett et de Ionesco. Il raconte l’histoire de deux survivants d’un tremblement de terre restés coincés au dernier étage d’un immeuble de sept étages. Les rapports hiérarchiques entre la cadre et l’employé vont petit à petit glisser dans des situations cocasses....